Résumé

Les auteurs ont réalisé des expériences numériques en supprimant et en ajoutant les effets de rayonnement, d'évapotranspiration et de la rugosité aérodynamique causés par les arbres urbains en utilisant un modèle écohydrologique urbain. Les simulations sont présentées pour quatre villes avec des climats différents (Phoenix, Singapour, Melbourne, Zurich) en tenant compte des cycles saisonniers et diurnes des températures de l'air et de surface. Les résultats expliquent les différences observées dans les effets de refroidissement des arbres urbains et peuvent guider les stratégies de planification et la sélection des espèces visant à améliorer le microclimat urbain.