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L'auteur analyse les premiers retours médiatiques sur la nature en ville pendant cette période de confinement, dû au coronavirus. Il s'interroge sur ce qui motive cet intérêt pour le vivant de la part des médias et des confinés, et sur l'impact réel ou possible du confinement sur la nature. Pour établir un bilan global et objectif de cet impact, il rappelle les outils à dispositions que sont les sciences participatives. Face à la formule mentionnée dans les médias consacrant "un droit de la nature", l'auteur donne des pistes de compréhension, occasion permettant une reconnaissance d'une crise de la biodiversité en cours. Enfin il conclut cet état des lieux par une prise de conscience du vivant et de nos impacts directs.