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Pour dépolluer, la chimie en appui du végétal

Revue scientifique & technique

Article de presse spécialiséeRessource externeImprimé

FAYOLLE Pascal

Lien horticole

janvier-février 2021

Qualité des sols et génie pédologique

pelargonium ; recherche appliquee ; experimentation ; hauts de france ; pas de calais ; plante depolluante ; sol pollue ; entreprise ; milieu urbain ; metaux lourds ; dépollution

Français

n°1102, p.30-31 (2 p.)

Photogr. ; Sch.

Résumé

Focus sur les essais et résultats du projet DéPLAssMétaux, qui a cherché à améliorer des parcelles urbaines contaminées par des cultures rentables. Laurent Thannberger, directeur scientifique de la société Valgo, spécialisée en dépollution des sols, explique la démarche qui repose sur la culture de pélargoniums odorants. Pour accélérer le processus de la plante à capter les métaux, a été ajouté un chélatant, une molécule qui est capable de "pincer" deux molécules de plomb ou d'autres métaux. Des essais en serre puis en pleine terre ont été menés. Dans cette dernière expérimentation, le concept de "Phytotertre" a été imaginé pour cultiver les végétaux en collectant les eaux de ruissellement. Les plantes sont récoltées une fois par an, et les huiles essentielles extraites. Ce processus combinant biologie et chimie est encore lent, mais reste intéressant car il isole la terre polluée du sol, ce qui peut intéresser les aménageurs.

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