Résumé complet : Cette étude teste si la verdure et la densité résidentielle sont indépendamment associées aux changements d'indices de masse corporelle des enfants et adolescents. Il ressort que une surface de verdure plus importante est associée de manière significative à une baisse de l'indice de masse corporelle et les enfants et jeunes ont moins de chances d'avoir un IMC qui augmente.