Résumé complet : Extrait du dossier "Le bambou : on en prend tous un coup". Il se concentre sur la capacité de séquestration du carbone (CO2) des bambous. Bien qu'elle ne soit plus à prouver, l'autrice nuance son caractère exceptionnel : c'est la vitesse de croissance du bambou qui lui permet d'être rapidement opérationnel, mais pas plus que les autres arbres de forêts, qui participent tout autant à la lutte contre les gaz à effet de serre, mais plus tardivement. Le caractère invasif du bambou est d'ailleurs un handicap, puisqu'il peut étouffer d'autres espèces végétales et donc perturber l'équilibre de la biodiversité. Un point est consacré au calcul difficile du bilan carbone.