Résumé complet : L'autrice met en avant les travaux de différentes institutions britanniques pour mesurer économiquement le gain apporté par une couverture végétale, et en particulier à Londres, ville la plus chaude du Royaume-Uni. Parmi les institutions et les études, l'Office britannique des statistiques nationales a mesuré l'effet de la végétation sur la réduction de la pollution et les effets sur la santé humaine ; l'University College London (UCL) a étudié le potentiel de stockage carbone et d'atténuation du changement climatique des arbres urbains ; l'entreprise à but social Treeconomics a mesuré les services rendus par les arbres dans le Grand Londres. Ces travaux concluent sur la préservation de l'existant, et en particulier des arbres âgés.